

Elle Fanning [Lolita Lempika (?)] | Red Textures par BrokenHeartDesignz | Pinwheel par Amy Louise Bandy
NOM DU PATIENT : N'
NUMÉRO DE CHAMBRE : 025
ÉTAGE : PSYCHIATRIE
STATUT : GUÉRI
NUMÉRO DE CHAMBRE : 025
ÉTAGE : PSYCHIATRIE
STATUT : GUÉRI
HISTOIRE EN SECRET SUR LE BLOG

« Mélusine avait peur, Mélusine était terrifiée par la vie. Mélusine a mal tourné. Mélusine a envie de se venger. On raconte - par les temps qui courent - que tout n'est qu'histoire de vengeance. Mélusine n'en démentira pas. Parce qu'elle a perdu foi en elle-même, foi en cette génération futile. Parce que Mélusine a tout perdu. Parce qu'Allan est complètement valdingué. Parce que Glenn préfère les ciseaux, les lames tranchantes plutôt qu'une compagnie féminine, plutôt qu'une compagnie masculine. Parce que leur histoire n'est qu'une thématique à pleurer... »


Aujourd'hui c'est l'interne Anda qui s'occupe du diagnostic, et ce sont les Fêlures Incurables, alias le CC 2013 de N.', qui se retrouvent sur la table d'examen.
Tout d'abord, si la sobriété de l'habillage donne probablement beaucoup de cachet à l'histoire, et si j'adore le rouge choisi pour les titres, l'écriture pâle sur fond blanc est vraiment illisible. Il se peut que ça vienne de mon ordinateur qui a une saturation pourrie, ou du fait que mes yeux vieillissent, mais il a fallu que je copie-colle le tout dans un document texte pour pouvoir lire correctement, aussi conseillerais-je d'augmenter un peu le contraste entre la teinte du fond et celle du texte. (et peut-être d'augmenter un peu la taille de la police, aussi).
Ces considérations triviales ayant été traitées, parlons plutôt de l'histoire. L'orthographe est impeccable et hormis deux-trois typo malheureuses qui se courent après (du genre oubli de mot / de lettre), je salue le travail de N.' parce que cette histoire est indéniablement bien écrite. Le style est mature et personnel, on sent que l'auteur a largement trouvé ses marques et est à l'aise dans ce qu'elle fait ; l'écriture est fluide, rythmée, entêtante. Bon, comme hélas rien n'est parfait, il y a quelques détails qui pèchent : des petits tics d'écritures qui deviennent rapidement agaçants (la prolifération des « ouais » ou des tirets demi-quadratins qui, si d'ordinaire sont mes chouchous d'amour parmi les signes de ponctuation, ont commencé à me sortir par les yeux), et les répétitions sont parfois un peu lourdes. (J'ai conscience que les répétitions font partie intégrante du style et que généralement elle contribuent beaucoup à la musicalité et à la rythmique du texte, mais parfois (pas souvent), c'est un poil trop).
J'ai aussi noté que la concordance des temps déconne un peu, je serais d'ailleurs incapable de dire si cette histoire est écrite au passé ou au présent... Étonnamment, on fait très facilement abstraction (je n'étais même pas sûre du fait qu'il y ait vraiment une erreur, ou si c'était moi qui imaginait des trucs), mais il y a des moments où on se rend brusquement compte de ce décalage, et ça nous sort du texte.
Bref, malgré tout cela (d'autant qu'il me semble qu'on a déjà fait ces remarques à N.' et qu'elle est consciente de ces défauts), retenez que l'écriture de l'auteur est excellente. C'est le principal message que je voulais faire passer ici.
Au niveau de l'histoire en elle-même, LFI nous offre un curieux mélange entre le thriller à l'américaine et le drame psychologique. C'est cette alliance improbable qui, personnellement, m'a fascinée, et qui est selon moi la grande force de ce récit. N.' a peut-être trouvé comment amener de l'originalité à ce genre aussi sur-usité que complexe à gérer qu'est le policier. Ici, la solution se trouve parmi le passé des protagonistes, et ce n'est pas la carte du suspens qui est jouée mais plutôt celle de l'évolution des personnages.
Du coup, je vais en profiter pour parler du dernier soucis que rencontre LFI, selon moi, et qui est la structure de l'histoire. Bon, cette fiction ayant été écrite pour un Christmas Challenge, on peut largement pardonner ce genre de détails, l'obligation de forme (25 chapitres + respect du thème) limite parfois un peu la liberté de l'auteur, aussi ne faut-il pas voir mes remarques suivantes comme un reproche, plutôt comme une piste pour la réécriture.
D'abord et surtout, je trouve qu'il y a pas mal de longueurs. Surtout dans la première partie, à vrai dire (coucou Allan et ses lamentations interminables), je l'ai beaucoup moins retrouvé par la suite, mais de manière générale je trouve que les chapitres mériteraient plus de rythme. Quitte à les faire plus courts, quitte à les redécouper et qu'il y ait plus de chapitres au total. De même, je conseillerais à l'auteur de faire des paragraphes moins longs, histoire de dynamiser un peu le texte. Et surtout, de faire attention aux redondances dans les pensées des personnages. Il y a des chapitres où j'ai eu l'impression de lire la même chose pendant trois paragraphes (à 20 lignes en moyenne par paragraphe, ça va vite) et c'est, je pense, ce qui contribue à donner cette impression de longueur. Alors je sais, on est dans un roman psychologique, on est là pour entrer et se noyer dans les ressentis les plus profonds des personnages, mais attention toutefois à ne pas en faire trop (le lecteur n'est pas si bête que ça, et j'aime bien pouvoir déduire et sentir certaines choses par moi-même, sans qu'on me l'explique en long en large et en travers).
Je vais donc balancer une suggestion un peu en l'air, je ne sais pas si l'auteur la trouvera très pertinente, mais je me demande s'il n'aurait pas été intéressant d'alterner plus souvent entre les chapitres « présents » et ceux « passés ». Par exemple, plutôt que de faire toute une première partie sur le flic/le Tueur aux Yeux/l'enquête, puis tout un deuxième gros bloc sur leur enfance, pourquoi ne pas faire 3-4 chapitres l'un, 3-4 chapitres l'autre, revenir sur l'un et ainsi de suite ? Cela donnerait à mon avis beaucoup plus de rythme au texte, et permettrait de mettre en exergue les parallèles entre le passé et le présent des personnages. Et surtout accentuerait ce mélange de genres si spécial dont je parlais plus haut. Alors peut-être qu'il n'y a que moi qui le ressent comme ça, peut-être que je suis passée complètement à côté du texte en décidant de le voir comme policier plutôt qu'exclusivement psychologique, mais voulue ou non par l'auteur, je trouve que c'est cette dualité qui fait tout le charme de l'histoire, alors pourquoi ne pas l'exploiter à fond ?(au passage, j'ai vu qu'on avait suggéré à l'auteur de mettre plus d'indications temporelles dans l'enfance d'Allan/Mélu. Je ne suis pas d'accord, je trouve que cette espèce de progression ininterrompue et un peu floue dans le temps est vraiment sympathique).
Autre réflexion, qui s'applique cette fois uniquement à la première partie : il aurait peut-être été intéressant de vraiment démarquer les styles entre les chapitres de Mélusine et ceux d'Allan. On remarque bien qu'ils sont deux personnages très différents, aucun problème de ce côté-là, mais je trouve quand même l'écriture plutôt uniformisée entre les points de vue de l'un et de l'autre, alors que cela aurait pu être un exercice de style intéressant (et plus relou, aussi, ok haha) que de pousser les différences de personnalités entre eux jusque dans la façon dont ils s'expriment.
Et puisqu'on en est dans les personnages, je tenais à faire une dernière petite remarque négative (je suis casse-pieds, je sais), avant de passer aux éloges : j'ai trouvé que tous les personnages sont quand même pas mal enfermés dans le même schéma. Les parents qui n'en carrent pas une pour eux, la self-depreciation (navrée mais là maintenant tout de suite je suis incapable de retrouver le terme en français), les idées suicidaires, la fratrie qu'ils aiment d'amour mais qui meurt, les traumatismes, les problèmes avec leur famille pour affirmer/assumer leur homosexualité... Bien sûr, il y a des variations entre chaque personnages, bien sûr je schématise un peu, et sans doute que j'ai cette impression parce que j'ai lu d'autres travaux de N.' où l'on retrouve ces mêmes thématiques, mais peut-être aurait-il été intéressant de se pencher sur des situations plus différenciées pour chaque personnages.
Malgré cela, je tiens à les souligner, ces personnages. (oui cette blague est nulle). Ils sont vraiment travaillés à la perfection et sont les piliers de ce récit. Ma préférence allant à Mélusine qui est selon moi la plus complexe, la plus folle, celle qui sort le plus du lot. (préférence en terme scénaristique, parce qu'en terme d'affection j'hésite encore à savoir si mon chouchou est Glenn ou Allan). Allan, puisqu'on en parle, qui réussit à être incroyablement antipathique dans la première partie et qui devient adorablement attachant dès qu'on en apprend plus sur lui (comme quoi, allons au delà des premières impression), alors qu'il est relou-dépressif du début à la fin. Bref, je pourrais parler des heures là-dessus mais ça vous gaverait, sachez simplement que cette évolution fantastique des personnages est un de mes arguments en faveur d'une alternance plus régulière entre les chapitres passé/présent.
Pour finir, j'aimerais relever quelques trouvailles qui m'ont bien fait kiffer ma race (terminons sur une note lyrique) : le point de vue de la tueuse en série psychopathe, tout d'abord, qui dépote vraiment et contribue à développer le personnage si vaste de Mélusine. La recherche méthodique de la proie du chapitre 3, que j'ai trouvée super cool. Allan qui s'énerve contre le père de Mélu au chapitre 15 (go Allan, go!) et surtout tout le chapitre 16, qui est sans doute mon préféré, parce qu'il marque vraiment la bascule définitive de Mélusine et que la façon dont c'est raconté, en s'adressant directement à elle et en parlant d'événements qu'elle ne voit pas, est juste muuuuh ♥
Pour conclure définitivement ce diagnostic beaucoup trop long, il n'y a aucun trauma grave chez cette histoire. Quelques retouches sont à faire, mais je suis sûre qu'après quelques temps dans un service de MPR, ce récit pétera la forme. À lire pour tous les amateurs de récit psychologique et de tueur en série psychopathe.
Tout d'abord, si la sobriété de l'habillage donne probablement beaucoup de cachet à l'histoire, et si j'adore le rouge choisi pour les titres, l'écriture pâle sur fond blanc est vraiment illisible. Il se peut que ça vienne de mon ordinateur qui a une saturation pourrie, ou du fait que mes yeux vieillissent, mais il a fallu que je copie-colle le tout dans un document texte pour pouvoir lire correctement, aussi conseillerais-je d'augmenter un peu le contraste entre la teinte du fond et celle du texte. (et peut-être d'augmenter un peu la taille de la police, aussi).
Ces considérations triviales ayant été traitées, parlons plutôt de l'histoire. L'orthographe est impeccable et hormis deux-trois typo malheureuses qui se courent après (du genre oubli de mot / de lettre), je salue le travail de N.' parce que cette histoire est indéniablement bien écrite. Le style est mature et personnel, on sent que l'auteur a largement trouvé ses marques et est à l'aise dans ce qu'elle fait ; l'écriture est fluide, rythmée, entêtante. Bon, comme hélas rien n'est parfait, il y a quelques détails qui pèchent : des petits tics d'écritures qui deviennent rapidement agaçants (la prolifération des « ouais » ou des tirets demi-quadratins qui, si d'ordinaire sont mes chouchous d'amour parmi les signes de ponctuation, ont commencé à me sortir par les yeux), et les répétitions sont parfois un peu lourdes. (J'ai conscience que les répétitions font partie intégrante du style et que généralement elle contribuent beaucoup à la musicalité et à la rythmique du texte, mais parfois (pas souvent), c'est un poil trop).
J'ai aussi noté que la concordance des temps déconne un peu, je serais d'ailleurs incapable de dire si cette histoire est écrite au passé ou au présent... Étonnamment, on fait très facilement abstraction (je n'étais même pas sûre du fait qu'il y ait vraiment une erreur, ou si c'était moi qui imaginait des trucs), mais il y a des moments où on se rend brusquement compte de ce décalage, et ça nous sort du texte.
Bref, malgré tout cela (d'autant qu'il me semble qu'on a déjà fait ces remarques à N.' et qu'elle est consciente de ces défauts), retenez que l'écriture de l'auteur est excellente. C'est le principal message que je voulais faire passer ici.
Au niveau de l'histoire en elle-même, LFI nous offre un curieux mélange entre le thriller à l'américaine et le drame psychologique. C'est cette alliance improbable qui, personnellement, m'a fascinée, et qui est selon moi la grande force de ce récit. N.' a peut-être trouvé comment amener de l'originalité à ce genre aussi sur-usité que complexe à gérer qu'est le policier. Ici, la solution se trouve parmi le passé des protagonistes, et ce n'est pas la carte du suspens qui est jouée mais plutôt celle de l'évolution des personnages.
Du coup, je vais en profiter pour parler du dernier soucis que rencontre LFI, selon moi, et qui est la structure de l'histoire. Bon, cette fiction ayant été écrite pour un Christmas Challenge, on peut largement pardonner ce genre de détails, l'obligation de forme (25 chapitres + respect du thème) limite parfois un peu la liberté de l'auteur, aussi ne faut-il pas voir mes remarques suivantes comme un reproche, plutôt comme une piste pour la réécriture.
D'abord et surtout, je trouve qu'il y a pas mal de longueurs. Surtout dans la première partie, à vrai dire (coucou Allan et ses lamentations interminables), je l'ai beaucoup moins retrouvé par la suite, mais de manière générale je trouve que les chapitres mériteraient plus de rythme. Quitte à les faire plus courts, quitte à les redécouper et qu'il y ait plus de chapitres au total. De même, je conseillerais à l'auteur de faire des paragraphes moins longs, histoire de dynamiser un peu le texte. Et surtout, de faire attention aux redondances dans les pensées des personnages. Il y a des chapitres où j'ai eu l'impression de lire la même chose pendant trois paragraphes (à 20 lignes en moyenne par paragraphe, ça va vite) et c'est, je pense, ce qui contribue à donner cette impression de longueur. Alors je sais, on est dans un roman psychologique, on est là pour entrer et se noyer dans les ressentis les plus profonds des personnages, mais attention toutefois à ne pas en faire trop (le lecteur n'est pas si bête que ça, et j'aime bien pouvoir déduire et sentir certaines choses par moi-même, sans qu'on me l'explique en long en large et en travers).
Je vais donc balancer une suggestion un peu en l'air, je ne sais pas si l'auteur la trouvera très pertinente, mais je me demande s'il n'aurait pas été intéressant d'alterner plus souvent entre les chapitres « présents » et ceux « passés ». Par exemple, plutôt que de faire toute une première partie sur le flic/le Tueur aux Yeux/l'enquête, puis tout un deuxième gros bloc sur leur enfance, pourquoi ne pas faire 3-4 chapitres l'un, 3-4 chapitres l'autre, revenir sur l'un et ainsi de suite ? Cela donnerait à mon avis beaucoup plus de rythme au texte, et permettrait de mettre en exergue les parallèles entre le passé et le présent des personnages. Et surtout accentuerait ce mélange de genres si spécial dont je parlais plus haut. Alors peut-être qu'il n'y a que moi qui le ressent comme ça, peut-être que je suis passée complètement à côté du texte en décidant de le voir comme policier plutôt qu'exclusivement psychologique, mais voulue ou non par l'auteur, je trouve que c'est cette dualité qui fait tout le charme de l'histoire, alors pourquoi ne pas l'exploiter à fond ?(au passage, j'ai vu qu'on avait suggéré à l'auteur de mettre plus d'indications temporelles dans l'enfance d'Allan/Mélu. Je ne suis pas d'accord, je trouve que cette espèce de progression ininterrompue et un peu floue dans le temps est vraiment sympathique).
Autre réflexion, qui s'applique cette fois uniquement à la première partie : il aurait peut-être été intéressant de vraiment démarquer les styles entre les chapitres de Mélusine et ceux d'Allan. On remarque bien qu'ils sont deux personnages très différents, aucun problème de ce côté-là, mais je trouve quand même l'écriture plutôt uniformisée entre les points de vue de l'un et de l'autre, alors que cela aurait pu être un exercice de style intéressant (et plus relou, aussi, ok haha) que de pousser les différences de personnalités entre eux jusque dans la façon dont ils s'expriment.
Et puisqu'on en est dans les personnages, je tenais à faire une dernière petite remarque négative (je suis casse-pieds, je sais), avant de passer aux éloges : j'ai trouvé que tous les personnages sont quand même pas mal enfermés dans le même schéma. Les parents qui n'en carrent pas une pour eux, la self-depreciation (navrée mais là maintenant tout de suite je suis incapable de retrouver le terme en français), les idées suicidaires, la fratrie qu'ils aiment d'amour mais qui meurt, les traumatismes, les problèmes avec leur famille pour affirmer/assumer leur homosexualité... Bien sûr, il y a des variations entre chaque personnages, bien sûr je schématise un peu, et sans doute que j'ai cette impression parce que j'ai lu d'autres travaux de N.' où l'on retrouve ces mêmes thématiques, mais peut-être aurait-il été intéressant de se pencher sur des situations plus différenciées pour chaque personnages.
Malgré cela, je tiens à les souligner, ces personnages. (oui cette blague est nulle). Ils sont vraiment travaillés à la perfection et sont les piliers de ce récit. Ma préférence allant à Mélusine qui est selon moi la plus complexe, la plus folle, celle qui sort le plus du lot. (préférence en terme scénaristique, parce qu'en terme d'affection j'hésite encore à savoir si mon chouchou est Glenn ou Allan). Allan, puisqu'on en parle, qui réussit à être incroyablement antipathique dans la première partie et qui devient adorablement attachant dès qu'on en apprend plus sur lui (comme quoi, allons au delà des premières impression), alors qu'il est relou-dépressif du début à la fin. Bref, je pourrais parler des heures là-dessus mais ça vous gaverait, sachez simplement que cette évolution fantastique des personnages est un de mes arguments en faveur d'une alternance plus régulière entre les chapitres passé/présent.
Pour finir, j'aimerais relever quelques trouvailles qui m'ont bien fait kiffer ma race (terminons sur une note lyrique) : le point de vue de la tueuse en série psychopathe, tout d'abord, qui dépote vraiment et contribue à développer le personnage si vaste de Mélusine. La recherche méthodique de la proie du chapitre 3, que j'ai trouvée super cool. Allan qui s'énerve contre le père de Mélu au chapitre 15 (go Allan, go!) et surtout tout le chapitre 16, qui est sans doute mon préféré, parce qu'il marque vraiment la bascule définitive de Mélusine et que la façon dont c'est raconté, en s'adressant directement à elle et en parlant d'événements qu'elle ne voit pas, est juste muuuuh ♥
Pour conclure définitivement ce diagnostic beaucoup trop long, il n'y a aucun trauma grave chez cette histoire. Quelques retouches sont à faire, mais je suis sûre qu'après quelques temps dans un service de MPR, ce récit pétera la forme. À lire pour tous les amateurs de récit psychologique et de tueur en série psychopathe.
Critique réalisée sur l'entièreté de la fiction.
